Z'GOOD
Enfin un film
qui pèse, hachant la vertu en morceaux, fouaillant délicieusement
nos nerfs et notre cerveau. Un pur délice anti médias,
zigzaguant aux frontières de la morale, sombre à faire peur,
cruel, dégueulasse, à mourir de rire. Un conte de fées pour époque
incrédule. Mais sans fées. L'ogre est roi ("Actuel",
octobre 92)
C'est
une violence virtuelle pour de vraies confessions de barjo qui, s'émoussant
un peu sur la distance, trouvent leur jovial salut dans une
absence totale de prétention. Ce film ne pisse pas très haut
mais toujours au bon endroit, là, dans nos bénitiers.
("Libération",
11 août 92)
|
Z'BAD
À force de vouloir être partout, à la fois dans
le film et à côté, en commentateurs ironiques, ils finissent
par être nulle part. Dans cette absence envahissante, on pressent
quelque chose d'immonde. ("Le Monde", 6 novembre 92)
On ne voit plus qu'une bande de potaches hilares qui tournent en
rond avec leur provoc facile et se vautrent dans le pipi-caca-vomi.
("Télérama",11
novembre 92)
|